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Presentation du roman 2013

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Presentation du roman 2013 Empty Presentation du roman 2013

Message par  Mar 8 Jan - 8:36

2013 2013 2013


PRةSENTATION DU ROMAN



LA PREMIبRE DE COUVERTURE

Elle contient le nom de l’écrivain, le titre du roman suivi d’indications relatives à la présentation de l’œuvre. En bas, figurent le nom de la maison d’édition et le titre la collection La couleur dominante est sombre (un mélange de noir et de marron). Elle met en évidence l’ambiance sordide qui règne au cachot où est enfermé le prisonnier. Ce dernier est assis sur un lit, les mains posées sur les genoux, dans une position méditative. Il fixe les barreaux d’une lucarne à travers laquelle s’infiltre une lumière dorée qui éclaire partiellement sa cellule. Derrière lui se voient des traces d’écriture sur le mur laissées par les condamnés qui l’ont précédé.





RESUME

Un homme âgé d’une quarantaine d’années, apparemment issu de la bonne société, est condamné à mort pour avoir commis un meurtre. Après le procès, il est transféré à Bicêtre, un château médiéval transformé en prison. L’atmosphère horrible qui plane dans cet édifice constamment plongé dans les ténèbres et rongé par l’humidité écrase le moral du détenu. Pour occuper son temps, ce dernier s’abandonne à l’écriture. Dans le journal de ses confidences, il parle de la souffrance atroce qui torture son esprit, de la vie carcérale faite d’indifférence et de mauvais traitements, ainsi que des douleurs physiques insoutenables qui paralysent ses membres. Ses Mémoires insistent également sur la cruauté de la foule« buveuse de sang» qui épie avec avidité l’annonce des exécutions pour se rendre massivement à la Place de Grève, le théâtre macabre des décapitations. Les mêmes sensations de désespoir et d’abandon accompagnent le condamné partout où il va. Le calvaire vécu à Bicêtre se poursuit à la Conciergerie et à l’Hôtel de Ville sous les cris de la populace déchaînée et du regard froid du bourreau. Au milieu de ces scènes déchirantes surgissent les merveilleux souvenirs de l’enfance et de la jeunesse passés en famille ou en compagnie de la belle Espagnole Pepa. Marie, la fille du condamné, égaie elle aussi ses sombres journées. Il la serre de toutes ses forces contre son cœur lorsqu’elle lui rend visite dans son cachot. Mais l’enfant ne reconnaît pas son père et l’appelle tout simplement «

Monsieur ». Ce mot lui confisque sa paternité et le transforme en inconnu aux yeux du seul être au monde à qui il tient encore dans sa détresse. Après cette cruelle déception, il considère la mort comme une douce délivrance. La silhouette sinistre de la guillotine avec ses deux bras rouges et son triangle noir se dresse sans cesse devant ses yeux. Elle le hante jour et nuit : fait-elle souffrir ou bien donne-t-elle une mort instantanée ? Personne ne peut répondre à cette question. Il essaie de se consoler par le sermon de l’aumônier, mais le discours du vieux prêtre froid et répétitif ne fait que raviver ses angoisses. Au moment où on vient le chercher pour l’emmener à l’échafaud, le condamné cède à une crise d’hystérie. Il réclame sa grâce à gorge déployée et demande instamment qu’on lui laisse encore quelques minutes. Mais le papier signé de la main du roi n’arrive pas, et le temps fixé pour la décapitation approche implacablement. Quatre heures sonnent. C’est le moment.




PERSONNAGES




Le personnage principal: Il est aussi le narrateur du récit. A part son âge (40 ans), on ignore tout de son identité (nom, profession, etc.). Quelques indices éparpillés dans le texte permettent de dire qu’il appartient soit à la bourgeoisie soit à la noblesse (redingote, chemise de batiste, utilisation du latin,…) Le personnage devient alors un être abstrait. Il incarne plus l’esprit du condamné à mort que son corps parce que c’est la souffrance morale qui compte le plus. Le chapitre XLVII censé fournir des indications sur le passé du condamné est complètement vide parce que l’éditeur n’a pas pu retrouver les feuillets qui lui sont consacrés. L’histoire, narrée à la première personne, reste donc nécessairement inachevée.

Les personnages secondaires



L’AUMONIER: c’est le prêtre de la prison. Il se charge de consoler les condamnés à mort en récitant ses sermons sans sincérité et sans conviction. La manière dont il s’y prend n’apporte aucune paix à ses sujets. Il fait son métier c’est tout.



MARIE : c’est la fille du condamné. Son image ne le quitte pas un seul instant. Il s’inquiète de son sort et de son avenir. De tous les membres de sa famille, c’est elle qui le fait souffrir le plus. Mais la petite fille ne reconnaît pas son père lorsqu’elle le voit dans son cachot parce qu’elle ne l’a pas vue depuis longtemps. Pour elle, il est déjà mort.



LE BAGNARD :
homme hideux apparemment affligé de folie. Il partage provisoirement la cellule du condamné à la Conciergerie. Son passé plein de sang le transforme en véritable monstre. Il profite de la détresse de son compagnon de cellule pour lui confisquer sa belle redingote en échange d’une vieille veste rude et sale.



LE BOURREAU : homme froid et impassible. Les souffrances du condamné le laissent indifférent, la force de l’habitude sans doute.






COMPOSITION

Le roman se compose de quarante-neuf chapitres de longueur variable. On peut les diviser en trois parties en se basant principalement sur les lieux par lesquels passe le condamné avant son exécution à savoir Bicêtre (21 chapitres), la Conciergerie (26 chapitres) et l’Hôtel de Ville (2 chapitres).



SECTION I : BICETRE SECTION II : LA CONCIERGERIE SECTION III : L’HOTEL DE VILLE

Dans le cachot Chapitre I Le procès Chapitres II et III Retour au cachot Chapitres IV et V Le projet de journal Chapitres VI et VII Commencement de l’écriture

Chapitres VIII à XXI Continuation de l’écriture Chapitres XXII à XLVII Continuation et fin de l’écriture. Exécution du condamné Chapitres XLVIII- XLIX



AXES DE LECTURE- La stratégie argumentative I-1- La logique

La préface peut se lire comme un plaidoyer contre la peine de mort. Victor Hugo emprunte visiblement le raisonnement d’un avocat qui cherche à détruire les preuves de la partie adverse. Il examine un à un les arguments des partisans du châtiment suprême et les retourne contre eux.

Les arguments des partisans de la peine de mort Les arguments de l’auteur

Il faut décapiter les condamnés car la mort empêche la répétition de leurs crimes.-« Ceux qui jugent et condamnent disent la peine de mort nécessaire. D’abord parce qu’il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. »Le risque d’évasion reste toujours possible-« Vous objecterez qu’on peut s’échapper d’une prison ? »Œil pour œil, dent pour dent-« Mais reprend-on, il faut que la société se venge, que la société punisse. »Il faut donner l’exemple-« Reste la troisième et dernière raison, la théorie de l’exemple. Il faut faire des exemples ! Il faut épouvanter par le spectacle du sort réservé aux criminels ceux qui seraient tentés de les imiter. La prison à vie pourrait suffire-« S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. A quoi bon la mort ? »Il faut des prisons mieux surveillées-« Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. »Corriger au lieu de punir-« Ni l’un ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Elle ne doit pas punir pour se venger : elle doit corriger pour améliorer »La décapitation rend le public plus cruel-« Nous nions d’abord qu’il y ait exemple. Nous nions que le spectacle des supplices produise l’effet qu’on entend. Loin d’édifier le peuple, il le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité (…)A Saint-Pol, immédiatement après l’exécution d’un incendiaire nommé Louis Camus, une troupe de masques est venue danser autour de l’échafaud…
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PRةSENTATION DU ROMAN



LA PREMIبRE DE COUVERTURE

Elle contient le nom de l’écrivain, le titre du roman suivi d’indications relatives à la présentation de l’œuvre. En bas, figurent le nom de la maison d’édition et le titre la collection La couleur dominante est sombre (un mélange de noir et de marron). Elle met en évidence l’ambiance sordide qui règne au cachot où est enfermé le prisonnier. Ce dernier est assis sur un lit, les mains posées sur les genoux, dans une position méditative. Il fixe les barreaux d’une lucarne à travers laquelle s’infiltre une lumière dorée qui éclaire partiellement sa cellule. Derrière lui se voient des traces d’écriture sur le mur laissées par les condamnés qui l’ont précédé.





RESUME

Un homme âgé d’une quarantaine d’années, apparemment issu de la bonne société, est condamné à mort pour avoir commis un meurtre. Après le procès, il est transféré à Bicêtre, un château médiéval transformé en prison. L’atmosphère horrible qui plane dans cet édifice constamment plongé dans les ténèbres et rongé par l’humidité écrase le moral du détenu. Pour occuper son temps, ce dernier s’abandonne à l’écriture. Dans le journal de ses confidences, il parle de la souffrance atroce qui torture son esprit, de la vie carcérale faite d’indifférence et de mauvais traitements, ainsi que des douleurs physiques insoutenables qui paralysent ses membres. Ses Mémoires insistent également sur la cruauté de la foule« buveuse de sang» qui épie avec avidité l’annonce des exécutions pour se rendre massivement à la Place de Grève, le théâtre macabre des décapitations. Les mêmes sensations de désespoir et d’abandon accompagnent le condamné partout où il va. Le calvaire vécu à Bicêtre se poursuit à la Conciergerie et à l’Hôtel de Ville sous les cris de la populace déchaînée et du regard froid du bourreau. Au milieu de ces scènes déchirantes surgissent les merveilleux souvenirs de l’enfance et de la jeunesse passés en famille ou en compagnie de la belle Espagnole Pepa. Marie, la fille du condamné, égaie elle aussi ses sombres journées. Il la serre de toutes ses forces contre son cœur lorsqu’elle lui rend visite dans son cachot. Mais l’enfant ne reconnaît pas son père et l’appelle tout simplement «

Monsieur ». Ce mot lui confisque sa paternité et le transforme en inconnu aux yeux du seul être au monde à qui il tient encore dans sa détresse. Après cette cruelle déception, il considère la mort comme une douce délivrance. La silhouette sinistre de la guillotine avec ses deux bras rouges et son triangle noir se dresse sans cesse devant ses yeux. Elle le hante jour et nuit : fait-elle souffrir ou bien donne-t-elle une mort instantanée ? Personne ne peut répondre à cette question. Il essaie de se consoler par le sermon de l’aumônier, mais le discours du vieux prêtre froid et répétitif ne fait que raviver ses angoisses. Au moment où on vient le chercher pour l’emmener à l’échafaud, le condamné cède à une crise d’hystérie. Il réclame sa grâce à gorge déployée et demande instamment qu’on lui laisse encore quelques minutes. Mais le papier signé de la main du roi n’arrive pas, et le temps fixé pour la décapitation approche implacablement. Quatre heures sonnent. C’est le moment.




PERSONNAGES




Le personnage principal: Il est aussi le narrateur du récit. A part son âge (40 ans), on ignore tout de son identité (nom, profession, etc.). Quelques indices éparpillés dans le texte permettent de dire qu’il appartient soit à la bourgeoisie soit à la noblesse (redingote, chemise de batiste, utilisation du latin,…) Le personnage devient alors un être abstrait. Il incarne plus l’esprit du condamné à mort que son corps parce que c’est la souffrance morale qui compte le plus. Le chapitre XLVII censé fournir des indications sur le passé du condamné est complètement vide parce que l’éditeur n’a pas pu retrouver les feuillets qui lui sont consacrés. L’histoire, narrée à la première personne, reste donc nécessairement inachevée.

Les personnages secondaires



L’AUMONIER: c’est le prêtre de la prison. Il se charge de consoler les condamnés à mort en récitant ses sermons sans sincérité et sans conviction. La manière dont il s’y prend n’apporte aucune paix à ses sujets. Il fait son métier c’est tout.



MARIE : c’est la fille du condamné. Son image ne le quitte pas un seul instant. Il s’inquiète de son sort et de son avenir. De tous les membres de sa famille, c’est elle qui le fait souffrir le plus. Mais la petite fille ne reconnaît pas son père lorsqu’elle le voit dans son cachot parce qu’elle ne l’a pas vue depuis longtemps. Pour elle, il est déjà mort.



LE BAGNARD :
homme hideux apparemment affligé de folie. Il partage provisoirement la cellule du condamné à la Conciergerie. Son passé plein de sang le transforme en véritable monstre. Il profite de la détresse de son compagnon de cellule pour lui confisquer sa belle redingote en échange d’une vieille veste rude et sale.



LE BOURREAU : homme froid et impassible. Les souffrances du condamné le laissent indifférent, la force de l’habitude sans doute.






COMPOSITION

Le roman se compose de quarante-neuf chapitres de longueur variable. On peut les diviser en trois parties en se basant principalement sur les lieux par lesquels passe le condamné avant son exécution à savoir Bicêtre (21 chapitres), la Conciergerie (26 chapitres) et l’Hôtel de Ville (2 chapitres).



SECTION I : BICETRE SECTION II : LA CONCIERGERIE SECTION III : L’HOTEL DE VILLE

Dans le cachot Chapitre I Le procès Chapitres II et III Retour au cachot Chapitres IV et V Le projet de journal Chapitres VI et VII Commencement de l’écriture

Chapitres VIII à XXI Continuation de l’écriture Chapitres XXII à XLVII Continuation et fin de l’écriture. Exécution du condamné Chapitres XLVIII- XLIX



AXES DE LECTURE- La stratégie argumentative I-1- La logique

La préface peut se lire comme un plaidoyer contre la peine de mort. Victor Hugo emprunte visiblement le raisonnement d’un avocat qui cherche à détruire les preuves de la partie adverse. Il examine un à un les arguments des partisans du châtiment suprême et les retourne contre eux.

Les arguments des partisans de la peine de mort Les arguments de l’auteur

Il faut décapiter les condamnés car la mort empêche la répétition de leurs crimes.-« Ceux qui jugent et condamnent disent la peine de mort nécessaire. D’abord parce qu’il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. »Le risque d’évasion reste toujours possible-« Vous objecterez qu’on peut s’échapper d’une prison ? »Œil pour œil, dent pour dent-« Mais reprend-on, il faut que la société se venge, que la société punisse. »Il faut donner l’exemple-« Reste la troisième et dernière raison, la théorie de l’exemple. Il faut faire des exemples ! Il faut épouvanter par le spectacle du sort réservé aux criminels ceux qui seraient tentés de les imiter. La prison à vie pourrait suffire-« S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. A quoi bon la mort ? »Il faut des prisons mieux surveillées-« Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. »Corriger au lieu de punir-« Ni l’un ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Elle ne doit pas punir pour se venger : elle doit corriger pour améliorer »La décapitation rend le public plus cruel-« Nous nions d’abord qu’il y ait exemple. Nous nions que le spectacle des supplices produise l’effet qu’on entend. Loin d’édifier le peuple, il le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité (…)A Saint-Pol, immédiatement après l’exécution d’un incendiaire nommé Louis Camus, une troupe de masques est venue danser autour de l’échafaud…
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